Dernières douceurs

Cent fois ces dernières années, j’ai écrit et commenté sur l’aide médicale à mourir. J’y voyais un geste de civilisation désirable. Mille fois, on m’a répondu, pour marquer son opposition à la piqûre ultime : il y a les soins palliatifs, pour soulager la douleur.

Lire l’article

0