Dans son article, Aubert s'interroge sur le statut qu'on accorde aux personnes atteintes d'une forme de démence comme l'Alzheimer. Est-ce qu'on parle d'une sous-catégorie d'êtres humains qu'on pourrait éliminer si leur « ancienne personne » en avait fait la demande? Existe-t-il donc des catégories de personnes « indignes »? Selon lui, il est encore temps de changer notre regard sur les personnes rendues vulnérables par la maladie, la vieillesse ou le handicap.
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