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3 mai 2019   EUTHANASIE, TRANSPLANTATION D’ORGANES : UNE COLLUSION À HAUTS RISQUES ÉTHIQUES

La « mort par don » se définit par le fait de mettre fin à la vie d’une personne avec son consentement en la menant au bloc opératoire pour pratiquer sous une chirurgie, alors qu’elle est encore en vie, dans le but de prélever ses organes en vue d’une transplantation à d’autres personnes. Le problème, c’est que la « mort par don » contourne la règle du donneur décédé, qui interdit le prélèvement d’organes vitaux avant que le donneur soit déclaré mort.Avec la « mort par don », au lieu de prélever des organes après la mort dans les cas d’euthanasie ou de mort après arrêt cardiaque contrôlé (Maastricht III), le prélèvement d’organes se ferait pendant que les organes sont encore irrigués par le sang  Il n’y aurait pas de temps d’ischémie ; le prélèvement d’organes serait la cause directe et immédiate de la mort.