Infection sur infection était devenu le lot de mon père. Les antibiotiques n'étaient plus en mesure de pallier une déficience croissante du système respiratoire. Pire… Mon père mourrait par manque d'oxygène.
À l'hôpital de Marseille, le chirurgien propose une opération risquée du poumon droit. J'accepte. C'était opérer ou le perdre. L'opération a réussi et le chirurgien, dans sa sagesse, a décidé de ne pas harasser mon père par des chimiothérapies agressives. Il avait 82 ans.
Le cancer progressait lentement, comme souvent chez ...
Continue reading Mon père tenait à vivre ses dernières semaines le plus naturellement possibleJUN
2014