L’industrie pharmaceutique – pourtant rarement réfractaire aux occasions de vendre ses produits – s’était montrée réticente à garantir leur utilisation pour des euthanasies et des suicides assistés.
Au Tennessee, des condamnés à mort trouvent trop cruelle l’injection létale et préfèrent mourir sur la chaise électrique ou par peloton d’exécution.
Au Québec, cette injection létale a été vendue comme un soin de santé (« aide médicale à mourir ») pour que des personnes qui souffrent choisissent « librement » cette mort, pourtant qualifiée par ces prisonniers de «torture chimique extrême».